Isaac TONYI
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6 novembre 2025 09:50
2 min de lecture
Des hommes sans couilles, accompagnés dans un nid par des dames qui ne se regardent qu’entre elles, mouillées et rouillées par des comportements contraires à nos valeurs africaines...
Tout est mal qui finit forcément mal. A quelques semaines de la fin de la nouvelle année, en ce qui concerne notre sport roi, le football, on peut déjà établir un bilan d’échecs cuisants à la queue leu leu.
Les U20 ne seront pas à la CAN de leur catégorie. D’ailleurs les Éperviers Juniors ne connaissent pas ce chemin qui mène à Rome et qu’empruntent habituellement les Eléphanteaux de la Côte d’Ivoire, les Black Starlets du Ghana, les Lionceaux de la teranga.
Les Éperviers U17, eux, ont toujours un abonnement en cours de validité pour les échecs aux tournois de l’UFOA B, ils sont encore loin de rêver d’une CAN. Les Éperviers U23 sont à l’abandon depuis la révolution freinée, la sélection locale avec des joueurs érigés en points focaux et l’équipe fanion devenue la risée de tout le continent.
Des hommes sans couilles accompagnés dans un nid par des dames qui ne se regardent qu’entre elles mouillées et rouillées par des comportements contraires à nos valeurs africaines. Elles ne seront plus à la CAN. Des échecs répétitifs qui font tomber la première qualification dans le domaine du hasard. Les filles U20, elles, ont disparu. Sorties du nid, elles ne sont plus rentrées.
C’est la situation du roi des sports, un roi à terre. Faut-il encore se poser la question sur l’état des autres disciplines ? Oui et non à la fois. Oubliés et délaissés, ils arrivent à faire quelques descentes au cours desquelles ils rentrent avec des butins rangés dans les placards de la discrétion. Et comme si cela ne suffisait pas, le garant du trône du roi est placé sous tutelle.
Le Sport chez nous n’a plus autant d’importance, la nouvelle République a pris ses marques. Pour leur santé, les populations continueront par descendre dans les rues pour les journées dédiées au sport.
Mais en ce qui concerne le sport dans sa compétitivité et dans sa rivalité avec les autres pays, le forfait vient d’être constaté. Le plaisir sera libéré par les loisirs. Les jeux de hasard, les bars, les bistrots, la plage réhabilitée en bars restaus, la bière jusqu’au bout du goût assuré dans une guerre commerciale entre la BB Lomé et la SNB, voilà le nouveau challenge. Pour cela, on n’a pas besoin d’un ministère qui tourne à plein régime.
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